La descente aux enfers, la contrainte par la force, l'enfermement, la mise aux fers, l'enfer de la privation et de la mort est ici représenté par cet escalier étroit, intime, qui renvoie à la solitude de la fragilité de tout individu face à la masse et à la coercition. Le pas descendant de ses propres pieds bat un rappel du rythme sonore de la patrouille qui fige l’arrêt de tout, dans l'enceinte de la cour, enfermement des murs fait des sols de France prêts à ensevelir, sous la décharge de feu, la lueur d'espoir qui semblait se profiler au travers de cette eau qui file libre. Philippe Pingusson arch.
La descente aux enfers, la contrainte par la force, l'enfermement, la mise aux fers, l'enfer de la privation et de la mort est ici représenté par cet escalier étroit, intime, qui renvoie à la solitude de la fragilité de tout individu face à la masse et à la coercition. Le pas descendant de ses propres pieds bat un rappel du rythme sonore de la patrouille qui fige l’arrêt de tout, dans l'enceinte de la cour, enfermement des murs fait des sols de France prêts à ensevelir, sous la décharge de feu, la lueur d'espoir qui semblait se profiler au travers de cette eau qui file libre. Philippe Pingusson arch.
La descente aux enfers, la contrainte par la force, l'enfermement, la mise aux fers, l'enfer de la privation et de la mort est ici représenté par cet escalier étroit, intime, qui renvoie à la solitude de la fragilité de tout individu face à la masse et à la coercition. Le pas descendant de ses propres pieds bat un rappel du rythme sonore de la patrouille qui fige l’arrêt de tout, dans l'enceinte de la cour, enfermement des murs fait des sols de France prêts à ensevelir, sous la décharge de feu, la lueur d'espoir qui semblait se profiler au travers de cette eau qui file libre. Philippe Pingusson arch.
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